Communauté » Les bases de l'aquarelle

Maîtriser les Effets Spéciaux à l'Aquarelle
Bonjour. 27ème séance pour 65 essais actuels et 16 fois l'exercice des galets. Maintien du 100% coton grain fin 300g/m2 sur plexiglas, la recto mouillé au spalter, le verso également sauf pour les parties crayonnées au graphite permanent B (pour un peu plus gras que le HB), et utilisation du scotch "Tesa Eco" 25mm de large qui passe mieux que le kraft je trouve. J'ai passé quasiment toute la nuit dessus mais le souci c'est que je manque un peu de structuration. J'ai le sentiment de me perdre à souvent me demander ce que je vais faire, car il y a toujours 1000 choses à faire. Pour le 2ème essai (celui de droite), j'ai exclusivement utilisé mes peintures directement sorties du tube pour tenter une autre méthode (marre des godets séchés). Maintien du sel gros, sel fin, film alimentaire, pulvérisateur, bougie, éponge, pinceau supplémentaire en soie de porc ("Super Brosse" de l'aquarelliste Manù Pilutu). J'ai toujours beaucoup de mal à choisir la couleur pour les rochers. La 1ère couche d'eau légèrement aquarellée sèche vite, et je suis toujours dans l'hésitation à quoi mettre. Je sais créer les teintes, je connais aussi les complémentaires, les couleurs rompues et aussi rabattues, mais je ne sais pas harmoniser les couleurs dans tableau. J'aime beaucoup le rocher rouge avec sa texture donnée par le film alimentaire. Je pensais faire un truc nul, mais j'ai tellement passé de temps... Ce sont surtout les gerbes que je n'arrive jamais à faire lumineuses au centre (trop de choses en même temps). Peut-être de tenter de mettre un peu de gouache blanche. Mouais... Cordialement. Lionel.

Maîtriser les Effets Spéciaux à l'Aquarelle
Bonjour. 26ème séance. J'ai du mal et je me perds parfois. Pour les 2 essais, 100% coton (Fontaine 300g/m2 grain fin) sur planche de plexi avec mouillage au verso par le spalter. Le 1er essai avec du scotch 25mm (je n'ai plus le nom mais je l'ai marqué dans le précédent post), et le 2ème avec du Kraft. Les 2 semblent bien s'adapter au plexiglas contrairement à une planche de contreplaqué. Ce que j'ai essayé de faire dans le 1er essai, ce sont des couleurs atypiques comme dans un conte tout en utilisant le film alimentaire pour les arbres (je voulais tenter l'expérience depuis longtemps). J'ai mis le sel fin en bas des arbres. Je voulais tenter une sorte de forêt avec l'idée que la lumière serait plus importante à l'extérieur de celle-ci. Déçu du 1er, pour le 2ème essai, j'ai voulu repartir sur un arrière plan plus simple. Pour les pierres, j'ai essayé le maximum par exemple en mélangeant sur certaines zones le gros sel avec le film alimentaire. J'ai essayé de faire des ombres propres et des ombres portées mais pas évident avec les godets pour reprendre les teintes. Je devrais travailler sur une autre palette directement à la sortie du tube pour plus de liberté. Pas facile non plus pour savoir quelles teintes choisir pour les galets. Donc : sel gros, sel fin, film alimentaire, bougie, éponge... Je fatigue et j'ai fait ce que j'ai pu. C'est tout de même la quatorzième fois que je fais l'exercice... Cordialement. Lionel.

Maîtriser les Effets Spéciaux à l'Aquarelle
Bonjour. 25ème séance, 61 essais, et 12 fois cet exercice réalisé. Retour sur du grain fin et maintien du 100% coton (Fontaine 300g/m2 au format 23 X 31), le tout sur une plaque de plexiglas. Pour la 1ère fois, utilisation d'un scotch de 2,5cm de large (et non du kraft). Le 1er essai (en haut), comme Evelyne ne semblait pas avoir mouillé son papier, j'ai voulu essayer sans le mouiller au verso, et je l'ai beaucoup regretté car ça a beaucoup gondolé malgré le 100% coton soit parce qu'il est essentiel de mouiller le verso, soit parce que mes galets furent sur une trop grande surface (selon vous ?). Au 2ème essai (en bas), je me suis rattrappé en mouillant bien le verso de mon papier au spalter, puis en le retournant, mouillant les parties qui allaient accueillir le scotch (Tesa Eco marron 25mm ?), et là, je pus enfin ne pas avoir le papier qui gondole d'autant que le scotch se marie bien avec le plexi (j'avais un peu peur). Evelyne indique d'utiliser le gros sel dans le mat frais, mais je ne comprends pas pourquoi car normalement au mat frais, on retire des choses. Or, au moment où elle pose le gros sel, on est dans le brillant. J'ai tenté à différents moments et arrivé presque au mat sec, le sel gros et le sel fin ne semblent quasiment pas faire effet. Dans l'essai n°60, on voit en haut à gauche, vers "les effets de cristaux de neige", c'est bien avant le mat sec que je l'ai posé. J'ai du mal à bien tout comprendre mais j'essaye. Utilisation de : sel gros, sel fin, film alimentaire, bougie, éponge, pinceau en soie de porc "Super Brosse", quasiment pas de pulvérisateur. Je regrette beaucoup de ne pas savoir faire le ciel. Au 2ème essai, après le 1er lavis, j'ai tenté d'apporter un peu plus de matière sur un 2nd lavis mais j'ai plus abîmé qu'arrangé le coup ^^ A vos avis. Cordialement. Lionel.

Maîtriser les Effets Spéciaux à l'Aquarelle
Bonjour. Cette fois-ci, j'ai voulu expérimenter le grain torchon pour la 1ère fois. Le tout est sur 300g/m2 mais le 1er essai en haut est fait sur cellulose (Etival), et le 2ème essai en bas sur du 100% coton (Fontaine). Le tout fut utilisé avec une plaque de plexiglas sans kraft et je mouille le verso au spalter et le recto au spalter aussi mais en-dehors des galets. Avec le cellulose, ce fut difficile parce que le papier gondolait malgré mes efforts de remouiller par en-dessous puis par dessus. Il semble plutôt mal encaisser la flotte et les retraits ne sont pas évidents. Sur le coton par contre, ça change la vie ! C'est clair qu'il faut travailler sur du coton parce que le papier fait une bonne partie du travail finalement. Sur le gondolement déjà, je peux revenir dessus pour m'assurer que le papier se mette bien plat sur mon plexi (c'est impossible avec l'Etival grain torchon ça : peut-être grain fin plus sérieux). Avec le Fontaine, lorsque j'avais préparé mon jus avec pas mal de bleu de céruléum, même avec ces gros grains, en orientant ma plaque de plexi, je pouvais assez facilement faire en sorte que les pigments puissent nager dans la zone mouillée. Je retrouve une bonne qualité de diffusion. Par contre, j'ai toujours autant de difficulté à créer les délimitations des galets que nous montre l'instructrice Evelyne. J'utilise une brosse plate en poil de marte, puis après j'ai essayé avec un pinceau à lavis, mais je ne maîtrise pas ce qui paraît facile sur vidéo (mais plus dur sur le papier). Pour travailler, il faut trouver le moyen de rester sur du coton. Sinon, beaucoup de choses furent utilisées : gros sel, sel fin, papier alimentaire (les résultats sont souvent très moyens), bougie, éponge et un pinceau Casino en soie de porc juste pour apporter de la matière (rappel : "Super Brosse" de Manù Pilutu). Je ne maîtrise pas très bien ces effets même si j'en fait davantage puisque j'essaye aussi de faire du ciel, d'apporter plus mais bon... Cordialement. Lionel.

Maîtriser les Effets Spéciaux à l'Aquarelle
Bonjour. 23ème séance. Le papier coton Fontaine de chez Clairefontaine semble pelucher tout de même... Faits sur planche de plexiglas sans kraft (mouillé des 2 côtés par spalter). J'ai voulu faire des couleurs assez atypiques un peu comme dans un conte. Par contre, je suis lent, je prends le temps et avec les heures, il m'arrive parfois de ne pas avoir la patience de toujours attendre que ce soit sec ou vérifier l'étape précise du cycle de l'eau. Mais c'est peut-être parce que je fais trop de choses ou trop compliquées. Maintien du gros sel, sel fin, film alimentaire, bougie, éponge et pinceau en soie de porc. Le 2ème essai a été gâché à la fin par ces petits éléments sombres puisque j'en avais marre et que j'ai utilisé le pinceau en soie de porc d'une façon énergique pour simuler une sorte de feuillage sauvage en bas quoi... C'est pénible d'avoir du sel, de ne pas pouvoir le retirer (emploi d'une petite pince sur couteau Suisse), que ça tâche un peu et en plus que ça gêne lors du passage du pinceau pour séparer les galets/rochers. Ou alors, encore une fois, peut-être faire plus simple. Là, j'arrive tout de même à 8 essais sur les galets. Intéressant : le bleu de Prusse concentré convient aussi pour séparer les rochers. Cordialement. Lionel.

Maîtriser les Effets Spéciaux à l'Aquarelle
Bonjour. 22ème séance (plus de 6 heures). Les 2 sont sur du papier coton Fontaine de Clairefontaine (300g/m2 grain fin et format 23cm X 31cm). Pour le 1er, j'ai essayé de capitaliser les éléments et de créer quelque chose : les jus, lavis par les troncs arbres, l'oiseau (c'est que maintenant que je vois que je lui ai oublié les pattes, pfff), les effets spéciaux (sel gros, sel fin, film alimentaire, bougie et éponge). Pour le 2ème essai, j'ai hélas réussi à trouer le papier malgré sa qualité (le soleil) à force de vouloir trop retirer de pigments et d'impuretés (mais j'ai réussi à reconnaître "Mat frais " et "Mat sec"). Je ne sais pas faire les cieux mais j'ai essayé de m'organiser selon une logique. Dans les 2 essais, spalter utilisé au verso pour mouiller la feuille sur du plexiglas et aucune utilisation de kraft ni de scotch. ça va très bien d'autant que si la feuille se relève un peu, il me suffit de passer un coup de spalter à l'endroit en question (dont au verso) et ça roule ! J'ai bien fait d'utiliser un crayon graphite permanent à la place d'un aquarellable pour conserver le dessin des galets. Le souci, c'est que bien souvent, je dois reprendre à plusieurs reprises. Exception faite du noir très peu utilisé, seul l'Indigo semble permettre une relativement bonne séparation des rochers/galets. Maintien de mon pinceau en soie de porc pour faire la "Super Brosse" comme conseillé par Manù Pilutu (en plus de l'éponge pour donner des effets). Pinceaux majoritairement utilisés : 805 Taille 0 de chez Raphäel et Stroke 10mm plat (martre Kolinsky) de chez Winsor & Newton. Débutant, j'aurais besoin de retours. Cordialement. Lionel.

Maîtriser les Effets Spéciaux à l'Aquarelle
Bonjour. 21ème séance. J'ai voulu refaire des exercices sur ce chapitre. Ces 2 essais qui m'ont vraiment pris du temps (plusieurs heures) sont sur grain fin, à 300g/m2, mais la 1er fut fait sur cellulose (24X30) et le 2ème sur coton 23X31), tous deux sur une plaque de plexiglas avec exactement la même méthode de préparation à savoir sans kraft et mouillé d'abord au dos par le spalter avant de revenir sur la face avant. Sur cellulose (52), ça a pas mal gondolé. Sur coton (53), il n'y a eu quasiment aucun gondolement (Clairefontaine Etival et Clairefontaine Fontaine). Utilisation des principaux accessoires (sel gros, sel fin, film alimentaire, bougie, éponge...). Sur le coton, je peux vraiment mieux revenir avec des retraits sans effacer la couche de dessous. Encore une fois, j'ai utilisé la technique de Manù Pilutu "Super Brosse" pour les effets texturés d'herbes sur les rochers avec un pinceau en soie de porc (regardez sur Youtube). Difficultés : organisation pour colorer les galets (je perds à chaque fois les traces aux crayons), peindre par dessus du sel gros que je n'arrive pas à expulser totalement, faire les délimitations des rochers (je dois m'y prendre à plusieurs reprises pour affiner), sur la version coton, une partie "salée" est venu a-dessus de mes rochers pour bousiller mon ciel (j'avais pourtant bien utilisé la technique précédente de l'oiseau pour protéger mes galets mais c'est après que le problème s'est posé). Je passe le reste mais pourtant j'ai essayé d'apporter un maximum d'ombres propres et d'ombres portées mais même avec un mélange de jaune et de sa complémentaire violette, le marron obtenu pour le sol ne me paraît pas terrible (peut-être trop carencé de jaune ?). Bon. Je pense qu'il ne faut pas désespérer et que le coton Fontaine (de Clairefontaine) reste parfois un meilleur choix. J'attends d'ailleurs de pouvoir tester le coton grain fin de chez Dalbe mais je n'ai pas eu de chance avec les stocks de notre magasin Rart ;-) . Que ce soit l'essai 52 ou 53, n'hésitez pas à me laisser un petit commentaire sur ce qui va mais aussi ce qu'il faudrait corriger parce si je fais une cXnneXie, je risque de la reproduire longtemps ^^ J'ai donné tout ce que j'ai pu en tout cas et ce n'est pas fini. Cordialement. Lionel.

Maîtriser les Effets Spéciaux à l'Aquarelle
Bonjour. Allez go ! 20ème séance sur Rart. Pour le 1er essai, ça m'a assez énervé parce que malgré la prudence d'attacher l'Etival 300g/m2 sur planche contre plaquée avec des Kraft, ça n'a pas arrêté de gondoler tandis que ça séchait vite et qu'essayant de faire l'exercice tel quel, ça n'arrêtait pas de me brider (peignez donc sur du papier qui gondole comme une montagne !!!). Au 2ème essai, toujours sur Etival 300g/m2 (cellulose), j'ai changé en utilisant la plaque de plexiglas et surtout en mouillant l'arrière au spalter comme pour l'exercice précédent sur l'oiseau, puis vers l'avant spécialement pour le ciel (je voulais créer du ciel). ça allait bien mieux ! J'ai tenté des retraits, d'adoucir... Ensuite, je me suis occupé des galets le ciel étant suffisamment sec. Utilisation du gros sel, du sel fin, d'un pinceau plat en poil de martre y compris pour les retraits, du film alimentaire, de la bougie comme conseillée (pour le sol). Cela efface mon dessin de base fait au HB aquarellable et donc j'ai du repenser les galets. Important : je tiens à souligner le conseil de l'aquarelliste Manù Pilutu concernant l'utilisation de "Super Brosse". C'est un pinceau bon marché en soie de porc dont je me suis servi en dernière partie pour redonner de la matière verdâtre sur les rochers et même pour retirer un peu les blancs. Vous trouverez ses vidéos sur la "Super Brosse" via Youtube. Prendre des cours à un endroit ne dispense pas de se renseigner ailleurs. Cordialement. Lionel.

Le Cycle de l'Eau à l'Aquarelle
Bonjour. Pour aujourd'hui, maintien du papier cellulose pour les 2 essais (Etival grain fin 300g/m2). Concernant l'oiseau, ça commence à aller mieux je trouve (peut-être en ayant utilisé moins de pinceaux ?). J'arrive à refaire du sec sur sec (voir post précédent au même chapitre). Donc là, j'étais sur une plaque de plexiglas (kraft non nécessaire car ça tient très bien). Le bas de l'oiseau était perfectible. Du coup, j'ai tenté d'apporter une couche supplémentaire par en-dessous. Par contre, sur le 2ème essai, je pense que je n'ai pas suffisamment préparé mon coup. Je voulais faire un ciel de plus en plus sombre avec les jus (bleu de céruléum, bleu primaire, indigo, et noir). Difficile d'être créatif tout en essayant de rester sur l'exercice des retraits (bassine d'eau + planche contreplaquée + kraft). Après les auréoles volontaires d'en haut, et avoir évité de pencher la feuille pour conserver ces auréoles volontaires, ça m'a fait gondoler la feuille à la limite sombre (accumulation d'eau difficile à limiter). Après, c'est revenu normal. J'ai essayé d'amener du pâteux supplémentaire pour un peu plus de pigments visibles et affiner les gerbes. De nombreux retraits furent tentés mais bon... Mis appart ce feu d'artifice raté, je pense qu'il est temps d'avancer dans les chapitres non ? Il y a eu beaucoup d'essais sur l'oiseau (et même précédemment sur le nounours). N'hésitez pas à fournir un retour. Cordialement. Lionel.

Le Cycle de l'Eau à l'Aquarelle
Bonjour. Voici mes nouveaux essais. J'aurais voulu faire plus mais la fatigue me gagne. C'est tout sur du cellulose Etival grain fin 300g/m2. La séance a été stressante parce que mon problème est par rapport à l'organisation psychologique et physique. Je me dis "Quel pinceau choisir maintenant ?", "Où est-il ?", "Oh là... C'est en train de sécher". J'utilise trop de pinceaux et je finis par me perdre sur lequel est chargé ainsi que sur l'ordre à suivre. Le spalter pour mouiller, les pinceaux à lavis Raphaël 805 (taille 6 pour le jus du ciel, taille 4 pour la récupération de trop d'eau), le pinceau lavis plat Winsor en poil de martre 6mm, le Raphaël 916 taille 6, les pinceaux ronds I Love Art... Il y a des fois où il faut que je repasse à plusieurs reprises sur les arbres car en rajoutant du pigment, souvent, après je polis (comme appris ici) ce qui fait une marque de dégradé et demande donc de refaire le tout. En remplacement des I Love Art, j'ai commandé ici, chez Rart, un pinceau à poil plus nerveux. Pour l'essai 47, j'ai refait de la technique "Sec sur sec" comme j'avais appris via les vidéos de Rémy Lach pour tenter de simuler le mouvement. Ce fut le petit moment de plaisir ainsi que lorsque j'ai réussi le sec sur sec sur l'aile de l'oiseau et le dégradé autour de l'oeil avec l'aide du pinceau à lavis. ça m'a fait bizarre de voir l'oiseau se former d'un seul coup. J'ai l'impression qu'il est bon de se faire confiance et de croire en soi. Mais ce n'est vraiment pas facile tandis que je me documente aussi ailleurs. N'hésitez pas à me faire un retour sur ce qui va (moral des troupes), et ce qui ne va pas (recentrage vers la progression). Cordialement. Lionel.

Le Cycle de l'Eau à l'Aquarelle
Bonjour. Après m'être entraîné hier sur l'oiseau, je voulais reprendre la totalité de l'exercice du chapitre "Cycle de l'eau". Tout est fait sur du cellulose (Etival grain fin 300g/m2). Le 1er est fait en trempant mon papier dans la bassine (à 2 reprises même puisqu'à la première il gondolait) puis fixé au kraft sur ma planche contre plaquée (plus de souci de gondolage par la suite). Le 2ème a été mouillé au spalter au verso puis au recto après avoir préparé mes jus. Par rapport au précédent essai du paysage sur l'oiseau, je suis mieux satisfait de celui-ci. Là où je me suis fait piéger, c'est après avoir créé des auréoles volontaires pour suggérer des nuages, d'avoir penché ma feuille pour récupérer une goutte d'eau dans le feuillage alors que c'était trop tôt ce qui a dilaté les auréoles et même un petit peu supprimé les petites auréoles faites autour de l'oiseau. C'est toujours le même inconvénient quant à la gestion de l'eau sur le papier car en créant des auréoles volontaires, on ralentit le cycle de l'eau mais uniquement à l'endroit où l'on a créé ces auréoles. Le séchage n'étant pas uniforme, c'est difficile à gérer. N'hésitez pas à me faire des retours afin que je comprenne et que je sache quoi conserver et quoi améliorer. Cordialement. Lionel.

Le Cycle de l'Eau à l'Aquarelle
Bonjour. Me voici sorti de 5 heures de séance (à peu près). Bon. Alors. Tout d'abord, j'ai voulu refaire un mix arbre et nounours dans le cycle de l'eau avec le papier dans ma bassine, puis fixé sur ma planche contre plaquée avec du kraft. Etant allé petit à petit avec les jus, ça n'a pratiquement pas gondolé malgré le cellulose Etival. Ensuite, en 2ème essai, j'ai de nouveau utilisé l'Etival grain fin 300g/m2 toujours en le trempant dans ma bassine d'eau, mais cette fois-ci en le positionnant ensuite sur la plaque de plexiglas (et sans kraft) et essayer pour la 1ère fois de faire naviguer les pigments avec cette planche de plexi (feu d'artifice). Contrairement à la photo où l'on voit que ça gondolé, en vérité, c'est seulement après que j'ai fini et retiré le papier du plexi que ça a gondolé (mais pas avant). La planche plexi est une bonne solution même si elle demande de régulièrement faire attention à l'eau et d'essuyer. Enfin, encore sur cellulose, voyant que les dernières fois, je n'y arrivais pas avec l'oiseau, j'ai tenté de faire que l'oiseau un bon paquet de fois. Le problème, c'est que la concentration devient difficile et que je suis surtout dans la création des teintes mais que la maîtrise des étapes du cycle de l'eau est un peu passé au second plan. Mais j'applique des corrections tout de même. J'essaye de faire au mieux. Apparemment, j'ai le sentiment que le 9ème essai d'oiseau semble meilleur. Je suis gaucher. Le 9ème est celui en bas à gauche. Cordialement. Lionel.

Le Cycle de l'Eau à l'Aquarelle
Bonjour. Pffff... Je ne comprends pas ces résultats aussi nuls. 3 heures de séance pour arriver à ça... Faire en même temps que la vidéo est impossible et de mémoire, je ne retiens pas notamment pour l'oiseau (ça paraît simple en visualisant mais en faisant c'est une toute autre paire de manche). 1er essai sur du cellulose avec trempage dans une bassine (malgré mes soins ça a gondolé assez rapidement), 2ème essai sur du coton toujours avec la bassine (plus sérieux, ça ne gondole pas et je peux y aller avec les jus), 3ème essai (l'oiseau) sur du cellulose à nouveau mais sur du Plexiglas comme montré par Evelyne. Je crois que quand il y en marre, il faut s'arrêter et passer à autre chose. Reprendre plus tard évidement mais... Je pense que je finirai par y arriver mais après 14 séances pour 38 essais, il y a des moments... Il faut dire aussi que ce ne sont pas ces sujets qui me tiennent à coeur (il y a peut-être un peu de ça). Cordialement. Lionel.

Le Cycle de l'Eau à l'Aquarelle
Bonjour. Je poursuis sur mon papier 100% coton toujours inspiré de cette leçon sur les étapes du cycle de l'eau et en faisant des retraits (papier préalablement trempé en bassine puis fixé au kraft sur une planche contre plaquée). J'ai une grande différence entre ce que je peux imaginer et ce que je peux obtenir. Pas facile de faire des retraits et pour la 2ème, au total, j'ai utilisé 8 pinceaux (plusieurs jus et plusieurs tentatives de pinceaux pour les retraits). C'est peut-être pour ça que je me mélange les pinceaux ^^ J'ai toujours autant de difficulté pour établir quand le papier est en "mat frais" ou en "mat sec" ce qui pourtant essentiel. L'aquarelle reprend vite ses droits. Je sais que j'aimerais bien utiliser certaines choses que j'avais apprises ailleurs comme le sec sur sec mais j'ai peut de m'éloigner de l'exercice en fait... N'hésitez pas à me dire où est-ce que ça ne va pas et me donner quelques conseils. Etant débutant, l'avis d'une personne plus experte s'impose pour une aide à la progression. Cordialement. Lionel.

Le Cycle de l'Eau à l'Aquarelle
Bonjour. Première utilisation d'une bassine d'eau pour mouiller le papier (d'habitude c'était avec mon splater). 300g/m2, grain fin. Au 1er essai, j'ai regretté d'avoir mis trop d'eau par dessus : ça a gondolé malgré le kraft et la planche contre plaquée. Au 2ème essai, ayant mieux fait attention à moins mettre d'eau par dessus, ça n'a plus gondolé. 2 premiers essais de haut en bas sur mon cellulose et le 3ème sur du 100% coton pour la 1ère fois. Bonne première impression avec ce papier (il semble réagir différemment mais il est trop tôt pour tirer des conclusions). Ce que je fais est nul de chez nul pour l'instant, mais je suis loin de perdre espoir (déjà la dernière fois c'était mieux avec l'oiseau sur la branche). Je sens quelque chose. Mon problème, c'est vraiment pour trouver quand le papier est en mat frais et en mat sec. Je m'aide en commençant à ouvrir les blancs et j'essaye de trouver en fonction de la réaction de l'aquarelle qui reprend ses droits au mat frais (une étape qui dure longtemps). Peut-être une meilleure observation est nécessaire voire d'autres exercices à côté en vue de mieux appréhender. Je ne sais pas. Dommage qu'il n'y ait pas de retour. Cordialement. Lionel.

Les gris colorés en Aquarelle
j'ai fait mon exercice pour la deuxième fois qui me paraît bien

Le Cycle de l'Eau à l'Aquarelle
Bonjour. Aujourd'hui, c'est ma 10ème séance pour 28 essais. J'ai tenu à refaire le feu d'artifice qui répondait lui aussi à l'humide sur humide et au retrait progressif des blancs. Partant sur du bleu de prusse, j'ai pensé bon d'ajouter un peu d'ocre jaune clair pour le ciel et du noir d'ivoire côté spectateurs. Au 2ème essai, j'ai repris le nounours mais j'ai loupé puisque les petites auréoles formées vers le haut furent involontaires. Je comprends à peu près les différents stades mais c'est surtout pour les reconnaître visuellement que c'est difficile d'autant que le séchage n'est pas équivalent de partout. Les retraits étaient presque impossibles vers la fin. C'est nul mais peu importe. Au 3ème essai, c'est différent puisque je créé des auréoles volontaires et que je suis occupé à retirer les blancs progressivement. C'est vrai que l'eau reprend constamment sa forme. Il a fallut que je libère les blancs de très nombreuses fois au centre des gerbes. Sans arrêt, les pigments dans l'eau reprenaient leurs formes et les blancs retirés disparaissaient. ça me fait penser aux démonstrations de Dominique Coppe dans le voyage de l'eau. Pour voir mes exercices en haute définition (reproduction fidèle au réflex numérique), cliquez sur "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet". Le combat continue ! Cordialement. Lionel.

Le Cycle de l'Eau à l'Aquarelle
Bonjour. Je continue les exercices avec ma planche de contre plaqué qui semblait s'être un peu tordue lors du 1er essai mais j'ai pu la remettre droite. Dans l'esprit de l'exercice, j'ai tenté de comprendre les étapes et d'utiliser les retraits tout en reprenant l'envie d'un feu d'artifice (autre essai montré précédemment) avant de reprendre le nounours. Le 1er essai, ça gondolait et j'avais mis plus d'eau que la papier mouillé (sûrement pour ça). J'ai tenté de simuler la lumière par des retraits au centre (et un peu plus), mais aussi par l'ajout d'un jaune ocre clair pour l'arrière plan. Le 2ème essai gondolait, alors que pourtant j'avais freiné la quantité de jus (violet obtenu par Bleu Outremer + Rose Permanent). Le 3ème, j'ai mouillé le papier au maximum possible et ça ne gondolait plus malgré le fait d'avoir rajouté un peu plus de jus dans les coins dont j'avais pourtant du mal à faire nager les pigments (carmin). J'arrive déjà mieux à m'organiser en prenant certaines habitudes : découpe du papier kraft, création d'un ou de 2 jus maximum dans ma palette en frottant sur mes godets, puis mouillage du papier sur ma planche avant de le fixer au papier kraft. Ce qui me manque, c'est une bassine d'eau car à chaque fois je suis obligé de passer par mon spalter pour mouiller la feuille recto/verso puis de nouveau recto (parfois spray en renfort). Mais j'ai toujours des difficultés pour bien différencier l'étape "mat frais" et l'étape "mat sec". J'utilise le pinceau et j'observe le comportement du papier mais à l'oeil nu, je n'y parviens pas d'autant que ça prend beaucoup de temps pour sécher. Le combat continue ! Cordialement. Lionel.

Découverte des Couleurs à l'Aquarelle
j'ai juste posé les couleur très intéressant comme exercice

Le Cycle de l'Eau à l'Aquarelle
Bonjour. Aujourd'hui, je propose 3 essais bien reproduits photographiquement en cliquant droit "Ouvrir le lien sur un nouvel onglet". Tous ont été faits sur une planche contre plaquée, papier tenu par du papier kraft. Sur le 1er, ce fut le seul essai des 3 à avoir le papier qui gondolait et j'ai compris pourquoi : j'avais mis davantage d'eau dans les jus préparés qu'il y en avait sur la feuille. Sur le 2ème, j'ai essayé de faire ressortir les auréoles volontaires comme montré en vidéo (sauf que je les avais volontairement faites dans le ciel comme des flocons). Le souci, c'est que très vite, ces auréoles ont tendance à disparaître même en maintenant la planche à plat. Comment faire pour quelles restent bien ? J'ai cédé un petit peu à quelques opportunités sans prétention pour l'arbre. Pour le 3ème, j'ai essayé de m'inspirer de la leçon pour essayer de créer autre chose qu'un nounours. Le souci, c'est que le séchage est long et ne se montre pas d'une façon rapide et régulière comme en vidéo. Peut-être est-ce du à la planche contre plaquée qui reste très humide ralentissant forcément le séchage (rappel : j'utilise le spalter d'eau recto, verso puis de nouveau au recto du papier). De plus, si j'ajoute le fait de tenter un peu d'humide sur sec pendant le séchage pour le ciel, le temps de séchage n'étant plus uniforme en haut qu'en bas, c'est difficile de s'y retrouver, mais j'y arriverai ;-) J'ai même tenté de faire taper mon pinceau dans ma main pour faire jeter quelques gouttes de laque écarlate puis j'ai tenté de préciser quelques nuages de fumée mais c'était encore trop humide. J'ai donc essayé très modestement d'estomper. Je n'ai plus osé y toucher (pas de gerbe). En tout cas, c'est riche d'enseignement et je n'ai pas fini de me battre. La fin 'a encouragé pour une fois ;-) Cordialement. Lionel.